• Savez-vous quel est le fruit le plus consommé au monde ? Et qui en mange le plus ? 

    La réponse est La pomme et ce sont les chinois qui sont les plus gros consommateurs ! 

    Toutes ces informations, je les apprise en écoutant l'émission La curiosité est un vilain défaut sur lien ici RTL en recevant Sylvie Brunel auteur du Livre "Croquer la pomme. L'histoire du fruit qui a perdu le monde et qui le sauvera" aux édition JC Lattès.

    Et aujourd'hui, coÏncidence,  je vous offre une recette automnale à base de pommes. 

    " Tombée de pommes au beurre salé " 

     

    Tombée de pommes au beurre salé

     

    Pour réaliser cette recette, vous aurez besoin de : 

    - 4  pommes 

     - Une généreuse noisette de beurre salé lien ici  

    - Un sachet de sucre vanillé 

    - raisins secs 

    Epluchez et coupez en quartier vos pommes.

    Faites fondre votre beurre salé dans une poêle.

     Ajoutez vos pommes et laissez les dorer. Ajoutez raisins secs  et sucre vanillé.

    Laissez caraméliser quelques minutes.

     

    Tombée de pommes au beurre salé

     

    Dressez votre assiette, et ajoutez si vous le souhaitez une boule de glace vanille ou crème chantilly ! 

    Dégustez ce dessert rustiquement  simple... Mais ne dit -on pas que le bonheur se trouve dans les choses les plus élémentaires ? Pour ne pas écrire " le bonheur est dans le verger  pré ! " 

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  • Les premières flambées, les premières soupes et bons plats mijotés autant de signes qui ne trompent pas "  L'automne s'installe ".

    Si les températures chutent, cela ne signifient pas pour autant que votre consommation d'énergie doit s'envoler. 

    Dans le post d'aujourd'hui, je vous indique une astuce pour consommer moins de gaz ou d'éléctricité, selon comment vous cuisinez ! 

    La Marmite Norvégienne ! 

    Quézaco ? 

    Wikipédia : 

    On appelle Marmite Norvégienne un procédé de fin de cuisson  des aliments  consistant à les placer dans un récipient lui-même contenu dans un réceptacle isolant : après avoir été chauffés de façon traditionnelle — mais moins longtemps que le temps de cuisson habituel —, les aliments peuvent y finir de cuire de façon autonome, sans nouvelle dépense d'énergie.

     

    Marmite norvégienne.ou magic Box

     

     

    C'est une caisse adiabatique dans laquelle on place une casserole (ou un autre récipient muni d'un couvercle) contenant un plat dont la cuisson a été démarrée sur le feu : dans cette caisse isolée, il va continuer à cuire sans aucune source d'énergie extérieure.

    Il suffit de préparer le plat un peu en avance, de l'amener à ébullition et de laisser bouillir quelques minutes (cela est variable selon le plat), puis de placer le récipient fermé par un couvercle efficace dans la marmite norvégienne, qui peut être une caisse ou même juste un carton bourré de lainages. Dans cette enceinte isolée, les déperditions de chaleur sont réduites au minimum, et le plat continue à cuire tout seul sans aucun apport d'énergie extérieure. Au bout d'une heure ou deux (là aussi c'est en fonction du plat), le repas est prêt et chaud.

     

     

    Afficher l'image d'origine

    source image :http://www.consoglobe.com/marmite-norvegienne

     

    Ce principe est plus que millénaire : les Juifs l'utilisaient pour préparer le hamin  avant le chabbat  conciliant ainsi interdiction de cuisiner et consommation d'un repas chaud. Cette cuisson a longtemps été employée dans les campagnes où l'on mettait la cocotte prévue pour le repas à finir de cuire sous l'édredon. Dans les pays scandinaves et d'Europe centrale, c'était plutôt sous la paille que les fermières avaient coutume d'enfouir le récipient contenant le plat, laissé à finir de cuire sans feu, et prêt à déguster au retour des champs. C'est d'ailleurs ce qui a inspiré l'un des premiers détenteurs du brevet de la marmite, un Norvégien qui a présenté les premières « cuisines automatiques norvégiennes » officielles vers la fin du xixe siècle. Il y avait déjà eu des inventions françaises bien avant, mais elles n'avaient pas eu de succès : c'est le terme « marmite norvégienne » qui est resté.

     

    On l'appelle ailleurs plus justement « caisse à cuire » (Kochkiste en allemand, cassetta di cottura en italien), ou « caisse à foin » (Heukiste en allemand ou haybox en anglais) car l'isolant de la caisse peut très bien être du foin. En effet, l'efficacité de ce système de préservation de la chaleur repose sur l'isolant. Cela peut aller de l'édredon dans lequel on emmitoufle la cocotte jusqu'au coffre soigneusement isolé, avec du polystyrène ou du liège. La place vide autour du récipient est comblée avec des lainages ou une couverture de façon à ce qu'il y ait le moins de perte de chaleur possible. La caisse est prestement refermée avec un couvercle, si possible lui-même isolé.

     

     Résultat de recherche d'images pour "image marmite norvégienne"

    Source image ;http://dansmapetiteroulotte.eklablog.fr

     

    Avantage : 

    La marmite norvégienne est un outil permettant d'économiser de l'énergie consacrée à la cuisson .

    La marmite norvégienne, très prisée pendant les deux Guerres mondiales durant lesquelles elle a rendu de grands services aux populations démunies, a peu à peu sombré dans l'oubli à cause de l’amélioration de l’accessibilité à l'énergie. Au début des années 2000, elle a été réhabilitée et remise en avant dans le cadre de l'opération Négawatts : lancée par Les Amis de la Terre en 2004, l'objectif est de réduire de moitié la consommation énergétique familiale afin de réduire les émissions de CO2. Grâce à internet, on trouve de plus en plus de documentation à son sujet.

    Des ONG s'emploient activement à la diffuser dans des pays où les ressources énergétiques sont rares et chères. Par exemple, on la connaît en Afrique sous les dénominations de « magic box », « bitatoré », « panier-thermos », « cuisson thermos », « wonderbag », « fireless cooker », « hot box » ou encore « wonder box ».

    La marmite norvégienne est facile à bricoler avec peu de matériaux mais il existe des modèles professionnels en inox pour la restauration, que l'armée utilise aussi.

     

    Les nutriments, la texture et le goût des aliments sont, d'une manière générale, identiques à ceux cuit par une cuisson classique. La cuisson se déroule en 2 phases : d'abord une phase de chauffe jusqu'à ébullition, puis une phase de cuisson quasi-isotherme (la température décroissant peu à peu). L'aliment est donc cuit à une température moindre qu'une cuisson à 100° ou qu'une cuisson en autocuiseur. Les nutriments sensibles aux températures élevées sont donc mieux préservés.

    Attention ! ne pas laisser plus de 2 à 3 h dans la " magic Box "  risque de prolifération de bactérie .

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  • Depuis quelques jours, les températures chutent pour nous faire comprendre que l'automne s'installe en disant ainsi adieu à l'été indien. Trop tôt ( à mon sens ) pour brancher le chauffage et allumer le poêle en fin de journée, nous résistons tant bien que mal en nous lovant dans des plaids colorés et des bouillottes sèches  !

    Quésaco ? 

    Une bouillotte traditionnelle est remplie d'eau chaude, malheureusement celle-ci peut s'ouvrir et brûler la peau. A l'inverse, une bouillotte sèche est garnie de produits naturels : riz, noyaux de cerise ou bien graines d'épeautre.

    Comment la réaliser ? 

    Vous avez besoin : 

    Deux carrés de tissu de 15 cm * 15 cm ( en coton ou matière type lin ) pas de synthétique pour le passage au micro-ondes .

    Je l'ai découpé dans un drap récupéré dans un vestiaire populaire.

    Bouillotte sèche : écolo et récup !

    Ancien drap blanc ou  " vintage " white sheet 

     

    Un rectangle de 17 cm * 34 cm pour réaliser la housse. J'ai opté pour un tissu girly rose à pois.

    Pourquoi une housse ? Pour éviter toutes éventuelles taches après que vous ayez bu des litres de café ( )  ou  réchauffé un plat maison riche en sauce !

     

    Bouillotte sèche : écolo et récup !

     

    200 g de riz ( grain d'épeautre, lin ou noyaux de cerise ...)

    1 étape :

    Coudre les 4 côtés des  carrés à l'envers. Laissez une ouverture de 4 cm pour verser le riz à l'intérieur. Retournez l'ouvrage. Remplissez-le suivant ce que vous avez sous la main  dans vos placards riz, noyaux de cerises ...Et fermez-le à points invisibles ou à la machine.

    2 étape : 

    La housse de la bouillotte. pliez-le tissu fleuri ou coloré (là encore au vue de vos chutes de tissu ) et cousez-le de façon à obtenir le résultat ci-dessous. 

     

    Bouillotte sèche : écolo et récup !

     

     

    Bouillotte sèche : écolo et récup !

     

    Maintenant, la bouillotte est prête. 

    Mode d'emploi : 

    Placez la bouillotte Sans la housse ( rose pour le pas à pas ) réchauffez quelques secondes au micro-ondes ( 40 secondes au départ ). Pour empêcher qu'à l'usage les grains  brûlent, mettez un verre d'eau avec la bouillotte. Avant de la placez dans la housse  Vérifiez bien la température pour éviter toutes surprises brûlantesEnsuite, vous pouvez réchauffer vos petites mains.

    Le petit truc en plus :

    Versez 2 ou 3 gouttes d'huile essentielle  - type lavande, citrus - soit sur le sachet ou la housse pour les bienfaits reconnus de ces plantes. Précaution à prendre pour les enfants en bas âges ou toutes autres personnes allergiques aux huiles essentielles.

    Cette bouillotte sèche peut être également utilisée à froid (  au congélateur ).

     

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